Entre les 21 et 26 juillet 2002, à une époque où le chef du Partido Popular José María Aznar était Premier ministre, des fonctionnaires de police espagnols se sont rendu au camp de Guantanamo pour interroger 20 prisonniers, dont l’unique prisonnier espagnol (entretemps libéré et retourné chez lui à Ceuta/Sebta) et plusieurs Marocains, et ce sans le moindre contrôle de la justice espagnole. Un voyage et des interrogatoires qui se sont donc faits en marge de la justice espagnole, marocaine ou internationale. Encore un point noir à ajouter au lourd passif de Pepe Aznar.
dimanche 4 mars 2007
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