A l’appel d’Amnesty International, cent parlementaires fédéraux ont signé une déclaration publique demandant aux autorités américaines de fermer sans délai le camp de détention de Guantánamo. Cette déclaration, ainsi que la liste des signataires, a été publiée le 9 juin dans la presse, à la veille de l’anniversaire de la mort par suicide de trois détenus l’an dernier.
La déclaration sera transmise au Parlement des États-Unis le 26 juin, journée mondiale en faveur des victimes de la torture.
Déclaration publique pour la fermeture de Guantánamo
Depuis plus de 5 ans, environ 770 hommes ont été détenus sans procès, et dans un non-respect total du droit international humanitaire et des droits humains, dans le camp de détention de Guantánamo. Près de 400 d’entre eux de plus de 30 nationalités étaient toujours incarcérés début 2007. La plupart d’entre eux ont été torturés, tous sont victimes de mauvais traitements. Aucun détenu de Guantánamo n’a été reconnu coupable d’une infraction pénale par un tribunal américain. Le camp de détention de Guantánamo est devenu le symbole de l’injustice ; il porte atteinte à la dignité humaine et à l’état de droit. C’est pourquoi les membres ci-contre du Parlement appellent le gouvernement des Etats-Unis à fermer sans délai le camp de détention de Guantánamo, à libérer sans conditions les détenus ou à les inculper et à les juger devant une juridiction civile, conformément aux normes internationales d’équité.
Liste des cent parlementaires fédéraux
La déclaration sera transmise au Parlement des États-Unis le 26 juin, journée mondiale en faveur des victimes de la torture.
Déclaration publique pour la fermeture de Guantánamo
Depuis plus de 5 ans, environ 770 hommes ont été détenus sans procès, et dans un non-respect total du droit international humanitaire et des droits humains, dans le camp de détention de Guantánamo. Près de 400 d’entre eux de plus de 30 nationalités étaient toujours incarcérés début 2007. La plupart d’entre eux ont été torturés, tous sont victimes de mauvais traitements. Aucun détenu de Guantánamo n’a été reconnu coupable d’une infraction pénale par un tribunal américain. Le camp de détention de Guantánamo est devenu le symbole de l’injustice ; il porte atteinte à la dignité humaine et à l’état de droit. C’est pourquoi les membres ci-contre du Parlement appellent le gouvernement des Etats-Unis à fermer sans délai le camp de détention de Guantánamo, à libérer sans conditions les détenus ou à les inculper et à les juger devant une juridiction civile, conformément aux normes internationales d’équité.
Liste des cent parlementaires fédéraux
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