Trois détenus de Guantanamo sont rentrés en Grande-Bretagne, oùi ls étaient résidents étrangers, mercredi et ont été interpellés à leur arrivée, a-t-on appris de source policière.
Jamil el-Banna (Palestinien né en Jordanie), 45 ans, Omar Deghayes (Libyen), 38 ans, et Abdennour Sameur (Algéren), 34 ans, ont atterri vers 19hGMT à l'aéroport de Luton, a précisé Clive Stafford Smith, directeur juridique de l'ONG de défense des droits de l'Homme Reprieve, qui représente 39 détenus de Guantanamo.
Les policiers qui accompagnaient les trois hommes dans l'avion ont arrêté MM. Deghayes et Sameur peu avant leur arrivée, les accusant formellement d'avoir préparé des actes terroristes. Ils ont été transférés vers un commissariat londonien pour y être interrogés.
Quant au troisième homme, il a été arrêté, mais n'a pas été officiellement mis en cause. Il a été transféré vers un poste de police du comté de Bedfordshire, au nord de Londres, selon la police.
La législation britannique permet d'interpeller les personnes entrant sur le territoire britannique pendant huit heures et de prendre leurs empreintes digitales et génétiques.
Les Etats-Unis ont refusé de libérer les deux autres résidents britanniques, a précisé la semaine dernière le ministre des Affaires étrangères David Miliband. Cinq ressortissants britanniques avaient été relâchés en mars 2004 et quatre autres en janvier 2005.
Jamil el-Banna (Palestinien né en Jordanie), 45 ans, Omar Deghayes (Libyen), 38 ans, et Abdennour Sameur (Algéren), 34 ans, ont atterri vers 19hGMT à l'aéroport de Luton, a précisé Clive Stafford Smith, directeur juridique de l'ONG de défense des droits de l'Homme Reprieve, qui représente 39 détenus de Guantanamo.
Les policiers qui accompagnaient les trois hommes dans l'avion ont arrêté MM. Deghayes et Sameur peu avant leur arrivée, les accusant formellement d'avoir préparé des actes terroristes. Ils ont été transférés vers un commissariat londonien pour y être interrogés.
Quant au troisième homme, il a été arrêté, mais n'a pas été officiellement mis en cause. Il a été transféré vers un poste de police du comté de Bedfordshire, au nord de Londres, selon la police.
La législation britannique permet d'interpeller les personnes entrant sur le territoire britannique pendant huit heures et de prendre leurs empreintes digitales et génétiques.
Les Etats-Unis ont refusé de libérer les deux autres résidents britanniques, a précisé la semaine dernière le ministre des Affaires étrangères David Miliband. Cinq ressortissants britanniques avaient été relâchés en mars 2004 et quatre autres en janvier 2005.
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