par Khadija Anna Lucia PIGHIZZINI, 7 janvier 2008. Traduit par Fausto Giudice.
Abou Elkassim Britel a décidé de suspendre sa grève de la faim déclenchée le 16 novembre dernier suite à une invitation pressante formulée par le Consul d’Italie Stefano Risotti, qui lui a rendu visite en prison le 3 janvier dernier et l’a assuré que les autorités italiennes se sont engagées pour une solution de son affaire et insistent aussi sur une amélioration de ses conditions de détention.
Kassim a accepté volontiers d’accomplir ce geste de confiance, dans l’attente d’une libération que l’engagement italien nous fait espérer proche.
Les prochains jours seront critiques pour Passim qui recommence progressivement à s’alimenter, après une si longue grève. Physiquement il est très faible, même si son coeur est solide et lors de chaque conversation téléphonique, il me demande de remercier tous ceux qui nous soutiennent et tous ceux qui nous ont envoyé des mails d’encouragement et d’expression d’inquiétude. Merci. !
Une autre information importante : le jeudi 10 janvier, Kassim recevra la visite d’une délégation de parlementaires et journalistes italiens, organisée par le député Ezio Locatelli. Dans l’après-midi suivra une conférence de presse au consulat italien de Casablanca. Des informations plus détaillées suivront dans les prochains jours.
ET LA PÉTITION ?
SVP, signez-la et invitez vos proches à le faire, dans cette phase de négociations et d’engagement déclaré du gouvernement italien, il est plus important que jamais d’insister sur la demande de libération d’ Abou Elkassim Britel. Il y a onze mois, une autre délégation de parlementaires nous avait fait espérer une solution positive mais il ne s’était rien passé. La participation de chacun d’entre vous, chaque nouvelle discussion ouverte sur vos sites et blogs est un pas de plus vers le résultat que nous sommes en train de chercher à obtenir : un acte de justice à l’égard d’un homme qui a beaucoup souffert et pour sa famille. Si vous ne l’avez pas encore fait, signez la pétition en ligne.
Merci encore.
Khadija
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